Un trou noir s’ouvrit, dont l’obscurité sans failles ne fut entachée que de la silhouette qui s’en dégagea. Le garganta était ouvert, laissant Reddo foulé de nouveau le sol sableux du Hueco Mondo. L’Arrancar était tout sourire de retrouver enfin sa terre natale, lieux sacré de ses gloires passées. Il lança dans la poussière blanche un violent coup de pied qui la fit s’élever dans les airs, il regarda le voile de fumée s’estomper et retomber au sol. Il posa ses mains sur les hanches et leva les yeux au ciel. Quel plaisir d’être enfin de retour! L’immense forteresse blanche était face à lui, toujours aussi grande, toujours aussi impressionnante. Si l’administration du Hueco Mondo avait changée de couleur, il était peut probable que le symbole de cette dernière en ait fait de même et c’est la raison de la venue de Reddo ici. Las Noches était toujours debout.
L’Arrancar s’avança vers le mur qui se trouvait face à lui, il ne voulait pas s’embarrasser à chercher la porte qui serait sûremment fermée de toutes façons. Quitte à faire des dégâts, autant les faire là où se verront le moins. Il tâta la parois du mur gris dont il s’était approché, resserra les doigts et posa son point contre celle-ci. Il la frappa d’un coup qui y laissa un net impact. Reddo pointa son doigt vers le centre de cet impact et en fini, à l’aide d’un puissant Cero, de la barrière qui le séparait de l’intérieur de Las Noches. La nuit sombre et perpétuelle du désert blanc laissa place au soleil radieux de la Forteresse. Le contraste aveugla Reddo quelques instants qui avança tête baissée jusqu’à l’intérieur du vaste bâtiment. Mais l’astre lumineux de la cour, laisse à son tour sa place aux sombres couloirs du fort.
A son plus grand étonnement, Reddo ne trouva personne, nul ne vint l’accueillir, étrange se dit-il, sachant que le Hueco était aussi réputé pour les accueils musclés qu’il réservait à ses visiteurs, en grande partie dû à ses habitants. L’Arrancar fouilla à de multiples endroits, les lieux n’avaient pas changés depuis son départ il y a des lustres. Mais la population, elle, semblait avoir prit un sérieux coup au moral. Reddo eut beau appeler, interpeller, personne n’était là pour répondre. C’était donc ca, les nouvelles instances du Hueco Mondo, pas brillant à première vue. Se retrouvant désespérément seul dans la salle du trône, au gré de ses allez et venues, l’Arrancar, la tête plonger dans ses pensées, s’assit sur le piédestal habituellement réservé aux seigneurs, aux rois, aux pontifes ou autres grands de ce monde qui y avait siégé. Il se sentit étrangement à l’aise dans cette position, bizarre... Il s’installa le plus confortablement possible dans ce fauteuil et referma les yeux. Il sentit que l’on approchait, l’Arrancar, les yeux toujours fermés, leva les mains au ciel et prononça ces paroles, ironiquement, avec un ton supérieur:
"Il suffisait que je m'installe ici pour réveiller les morts et leurs convoitises dîtes moi!"
L’Arrancar s’avança vers le mur qui se trouvait face à lui, il ne voulait pas s’embarrasser à chercher la porte qui serait sûremment fermée de toutes façons. Quitte à faire des dégâts, autant les faire là où se verront le moins. Il tâta la parois du mur gris dont il s’était approché, resserra les doigts et posa son point contre celle-ci. Il la frappa d’un coup qui y laissa un net impact. Reddo pointa son doigt vers le centre de cet impact et en fini, à l’aide d’un puissant Cero, de la barrière qui le séparait de l’intérieur de Las Noches. La nuit sombre et perpétuelle du désert blanc laissa place au soleil radieux de la Forteresse. Le contraste aveugla Reddo quelques instants qui avança tête baissée jusqu’à l’intérieur du vaste bâtiment. Mais l’astre lumineux de la cour, laisse à son tour sa place aux sombres couloirs du fort.
A son plus grand étonnement, Reddo ne trouva personne, nul ne vint l’accueillir, étrange se dit-il, sachant que le Hueco était aussi réputé pour les accueils musclés qu’il réservait à ses visiteurs, en grande partie dû à ses habitants. L’Arrancar fouilla à de multiples endroits, les lieux n’avaient pas changés depuis son départ il y a des lustres. Mais la population, elle, semblait avoir prit un sérieux coup au moral. Reddo eut beau appeler, interpeller, personne n’était là pour répondre. C’était donc ca, les nouvelles instances du Hueco Mondo, pas brillant à première vue. Se retrouvant désespérément seul dans la salle du trône, au gré de ses allez et venues, l’Arrancar, la tête plonger dans ses pensées, s’assit sur le piédestal habituellement réservé aux seigneurs, aux rois, aux pontifes ou autres grands de ce monde qui y avait siégé. Il se sentit étrangement à l’aise dans cette position, bizarre... Il s’installa le plus confortablement possible dans ce fauteuil et referma les yeux. Il sentit que l’on approchait, l’Arrancar, les yeux toujours fermés, leva les mains au ciel et prononça ces paroles, ironiquement, avec un ton supérieur:
"Il suffisait que je m'installe ici pour réveiller les morts et leurs convoitises dîtes moi!"