"Quel temps de merde !"
Ce furent les premiers mots que pesta Satoru en cette fin de matinée. Des mots si doux et paisible, il inspireraient la finesse et la pureté à n'importe qui ! Il se tenait devant la fenêtre, le dos courbé par la fatigue. Ses yeux étaient encore embourbés mais ils arrivait tout de même à discerner à travers les vitres translucides de sa chambre. Après avoir monté les volets, il se tenait devant un paysage urbain tout à fait normal, mais pour lui c'était l'horreur. Le Soleil ne brillait certes pas de milles feux, l'astre malheureusement caché par les nombreux nuages gris gorgés d'eau, mais il ne faisait ni horriblement froid, ni il ne pleuvait. Et heureusement, car voir la ville sous ses énormes nuages était quasiment apocalyptique pour le jeune Vizard. Vous l'aurez sûrement compris, le jeune homme est de ces personnes qui ne peuvent se passer du beau temps. Un ciel clair et dégagé ainsi que les rayons chaud et lumineux du Soleil lui baignant la peau suffisent à son bonheur, et c'est lors de telles situations qu'il est le plus heureux. Mais bon, passons ce léger détail.
Aujourd'hui était un jour spécial, et Satoru s'était levé plus tôt que d'habitude pour l'occasion. Il avait fait un effort surhumain et quasi titanesque pour sortir des bras de Morphée à ... 11 heures du matin. N'importe qui serait déjà levé à cette heure ci, quelque soit le jour, mais pas Satoru qui lui, a du se sacrifier pour se lever aussi tôt et perdre tant d'heures de sommeil. Et le jeune Vizard ne se lève jamais pour rien, aujourd'hui, Hibari l'avait convié à ce qu'ils s'entraînent ensemble. Ce n'était pas n'importe quel entraînement, ni pour n'importe quoi. La bande des Vizards préparaient une attaque pour bientôt, une attaque visant plus précisément la Soul Society. Cette organisation ayant fait souffrir chaque membre des Vizards d'une façon différente. Mais il y avait un problème majeur : à la Soul Society, il y a plusieurs capitaines de divisions. Chacun d'entre eux possède une puissance phénoménale, et Satoru peut en juger lui même, son Boss ayant des aptitudes de capitaine lui même et ayant occupé ce poste par le passé. Satoru était également très fort au combat, habile et rapide, il serait capable en se donnant à fond de mettre en pièces l'un de ces capitaines. Mais il y avait une chose, chaque capitaine possède la deuxième libération du Zanpakuto, plus connue sous le nom de "Bankai". Cette forme offre une puissance sans limite à l'utilisateur, doublant sa force au minimum. Et aucun des Vizards ne possédait de Bankai pour l'instant. C'était fâcheux, très fâcheux même. Car sans ça, ils ne feraient pas long feu contre les chefs de division. Hibari avait donc décidé, dans sa grande sagesse, d'arriver à ce deuxième stade de libération, et d'y amener son second également. Satoru était très flatté à l'idée d'être l'un des seuls privilégiés à posséder cette puissance qu'est le Bankai, il n'hésita même pas et accepta la proposition.
Voila comment il se retrouva levé à 11 heures, alors que le rendez-vous avec son Boss était à 11h30. Décidément, il était dans la galère jusqu'au bout. Il se dépêcha donc de se préparer et quitta son domicile un peu plus tard, se laissant exactement dix minutes de temps pour arriver au point de rendez-vous. Hibari souhaitait s'entraîner au Lycée de la ville, pour des raisons qui sont siennes, sûrement une histoire de contrôle de puissance. Bien entendu, le Lycée était à l'autre bout de la ville. Avalant vite fait une pillule, l'âme du Vizard quitta son corps pour le laisser entre les mains -pas toujours sûres- d'une âme modifiée.
Le jeune Vizard avait une particularité, lorsqu'il libérait son âme, cette dernière était encore habillée de la même manière que son corps, contrairement aux gens normaux qui portent alors l'uniforme du Gotei 13. cela avait une explication fort simple et ma foi, assez logique. Satoru a appris tous les arts Shinigamis de son maître, il n'a donc jamais intègre l'académie de la Soul Society. Le jeune homme possède des pouvoirs de Shinigamis, mais pas le statut. Enfin, ce n'était qu'une parenthèse.
Pendant ce temps, Satoru était arrivé au Lycée. Sauter d'immeubles en immeubles est la façon la plus efficace de circuler dans la ville, c'était encore une fois prouvé. Devant le portail, le jeune homme leva la tête pour voir l'horloge et constata avec effroi qu'il était 11h31 ... Il allait souffrir si son Boss était déjà là, ce dernier étant très à cheval sur tout ce qui est règles, en particulier la ponctualité. Et manque de pot pour Satoru, Hibari se trouvait dans la cour de recrée, assit, regardant au loin en semblant attendre.
Satoru l'interpella et croisa le regard de démon du Kyoya, qui semblait féroce rien qu'à cause du léger retard du Vizard. Mais cela n'affectait pas tant que ça le retardataire qui, toujours sûr de lui, ne montrera jamais un signe extérieur de soumission. Il leva donc la main en direction de son interlocuteur pour le saluer et enchaîna directement.
"Yo Hiba' ! Désolé du retard mais ... mon réveil a pas sonné ... Enfin bref, c'est quoi le plan ? J'ai aucune idée de comment atteindre le Bankai personnellement, j'te fait confiance pour la méthode !"
Ce furent les premiers mots que pesta Satoru en cette fin de matinée. Des mots si doux et paisible, il inspireraient la finesse et la pureté à n'importe qui ! Il se tenait devant la fenêtre, le dos courbé par la fatigue. Ses yeux étaient encore embourbés mais ils arrivait tout de même à discerner à travers les vitres translucides de sa chambre. Après avoir monté les volets, il se tenait devant un paysage urbain tout à fait normal, mais pour lui c'était l'horreur. Le Soleil ne brillait certes pas de milles feux, l'astre malheureusement caché par les nombreux nuages gris gorgés d'eau, mais il ne faisait ni horriblement froid, ni il ne pleuvait. Et heureusement, car voir la ville sous ses énormes nuages était quasiment apocalyptique pour le jeune Vizard. Vous l'aurez sûrement compris, le jeune homme est de ces personnes qui ne peuvent se passer du beau temps. Un ciel clair et dégagé ainsi que les rayons chaud et lumineux du Soleil lui baignant la peau suffisent à son bonheur, et c'est lors de telles situations qu'il est le plus heureux. Mais bon, passons ce léger détail.
Aujourd'hui était un jour spécial, et Satoru s'était levé plus tôt que d'habitude pour l'occasion. Il avait fait un effort surhumain et quasi titanesque pour sortir des bras de Morphée à ... 11 heures du matin. N'importe qui serait déjà levé à cette heure ci, quelque soit le jour, mais pas Satoru qui lui, a du se sacrifier pour se lever aussi tôt et perdre tant d'heures de sommeil. Et le jeune Vizard ne se lève jamais pour rien, aujourd'hui, Hibari l'avait convié à ce qu'ils s'entraînent ensemble. Ce n'était pas n'importe quel entraînement, ni pour n'importe quoi. La bande des Vizards préparaient une attaque pour bientôt, une attaque visant plus précisément la Soul Society. Cette organisation ayant fait souffrir chaque membre des Vizards d'une façon différente. Mais il y avait un problème majeur : à la Soul Society, il y a plusieurs capitaines de divisions. Chacun d'entre eux possède une puissance phénoménale, et Satoru peut en juger lui même, son Boss ayant des aptitudes de capitaine lui même et ayant occupé ce poste par le passé. Satoru était également très fort au combat, habile et rapide, il serait capable en se donnant à fond de mettre en pièces l'un de ces capitaines. Mais il y avait une chose, chaque capitaine possède la deuxième libération du Zanpakuto, plus connue sous le nom de "Bankai". Cette forme offre une puissance sans limite à l'utilisateur, doublant sa force au minimum. Et aucun des Vizards ne possédait de Bankai pour l'instant. C'était fâcheux, très fâcheux même. Car sans ça, ils ne feraient pas long feu contre les chefs de division. Hibari avait donc décidé, dans sa grande sagesse, d'arriver à ce deuxième stade de libération, et d'y amener son second également. Satoru était très flatté à l'idée d'être l'un des seuls privilégiés à posséder cette puissance qu'est le Bankai, il n'hésita même pas et accepta la proposition.
Voila comment il se retrouva levé à 11 heures, alors que le rendez-vous avec son Boss était à 11h30. Décidément, il était dans la galère jusqu'au bout. Il se dépêcha donc de se préparer et quitta son domicile un peu plus tard, se laissant exactement dix minutes de temps pour arriver au point de rendez-vous. Hibari souhaitait s'entraîner au Lycée de la ville, pour des raisons qui sont siennes, sûrement une histoire de contrôle de puissance. Bien entendu, le Lycée était à l'autre bout de la ville. Avalant vite fait une pillule, l'âme du Vizard quitta son corps pour le laisser entre les mains -pas toujours sûres- d'une âme modifiée.
Le jeune Vizard avait une particularité, lorsqu'il libérait son âme, cette dernière était encore habillée de la même manière que son corps, contrairement aux gens normaux qui portent alors l'uniforme du Gotei 13. cela avait une explication fort simple et ma foi, assez logique. Satoru a appris tous les arts Shinigamis de son maître, il n'a donc jamais intègre l'académie de la Soul Society. Le jeune homme possède des pouvoirs de Shinigamis, mais pas le statut. Enfin, ce n'était qu'une parenthèse.
Pendant ce temps, Satoru était arrivé au Lycée. Sauter d'immeubles en immeubles est la façon la plus efficace de circuler dans la ville, c'était encore une fois prouvé. Devant le portail, le jeune homme leva la tête pour voir l'horloge et constata avec effroi qu'il était 11h31 ... Il allait souffrir si son Boss était déjà là, ce dernier étant très à cheval sur tout ce qui est règles, en particulier la ponctualité. Et manque de pot pour Satoru, Hibari se trouvait dans la cour de recrée, assit, regardant au loin en semblant attendre.
Satoru l'interpella et croisa le regard de démon du Kyoya, qui semblait féroce rien qu'à cause du léger retard du Vizard. Mais cela n'affectait pas tant que ça le retardataire qui, toujours sûr de lui, ne montrera jamais un signe extérieur de soumission. Il leva donc la main en direction de son interlocuteur pour le saluer et enchaîna directement.
"Yo Hiba' ! Désolé du retard mais ... mon réveil a pas sonné ... Enfin bref, c'est quoi le plan ? J'ai aucune idée de comment atteindre le Bankai personnellement, j'te fait confiance pour la méthode !"